Karine Damour


De longues études dans les Arts appliqués et les Arts Plastiques, puis dans le milieu de la périnatalité. Des tranches de vie, des voyages, des rencontres, une famille ...

De ce tissage de liens multiples est né une volonté de partager dans des ateliers avec "Instants KA ".


Ma Passion

J’aime les autres, j’aime faire des liens. En pratique artistique, en pratique au quotidien. J’aime faire du bien.

La société contemporaine a besoin de bienveillance dans un monde qui va vite et oubli trop souvent les individualités. 

 Les Instants Ka et Les Instants bébés de Ka, c’est la communion de toute cette histoire de vie menée, autour de ce cumul d’expériences vécues, de ressentis et de constats faits.

Tout me semble lié : être considéré en personne dés sa naissance, se relier à sa mère, à ses parents, être au monde avec le regard bienveillant des siens, c’est grandir avec autonomie et développer aussi la compétence de bienveillance envers les autres.

S’exprimer, explorer ses émotions profondes, c’est découvrir les richesses d’un pôle intérieur à transmettre aux autres ensuite.

Les notions de bien être, de valorisation de soi, d’expressivité libératrice, de cercle vertueux  sont présentes dans toutes les prestations que je propose.

D’où cette notion d’Instants donnés à vivre, à voir, à faire, à sentir, à rêver…






Mon Histoire

Sédentaire par tranches de vie de 4/5 ans, j’ai vécu dans différentes régions et villes de France, puis en famille durant un périple sur un voilier pendant une année. D’Angoulême, à  Paris,  à  Bordeaux, Orléans, Béziers, Narbonne, Gruissan/New York en voilier, que de rencontres faites et d’histoires mêlées.

 

Étudiante artistique dés la seconde, j’ai pris la voie des Arts Appliqués jusqu’au BTS à l’ENSAAMA à Paris, puis la voie des Arts Plastiques jusqu’au MASTER à la faculté de Bordeaux.

 

Une première exposition de mes toiles de thé  m’a fait aimer le fait de donner à voir son art. Aidée par un agent, j’ai pu apprécier la liberté de création pendant qu’il se chargeait de diffuser mon travail. 2 ans de vie d’itinérance partagée entre production et expositions, entre Paris et Londres.

 

L’arrivée de mon fils m’a donné envie d’un peu plus de stabilité, de partage. J’ai alors ajouté à ma vie d’autres valeurs.

Une rencontre avec un formidable conseiller pédagogique en arts visuels de l’Éducation Nationale m’a ouvert aux enfants. L’époque était propice aux Classes transplantées en art : une semaine à créer avec les enfants d’une classe transportée hors les murs de l’école, en un lieu neutre, tous ensemble… J’ai adoré l’efficacité de ces projets. J’ai partagé mon immense atelier avec des classes qui venaient «œuvrer» le temps d’une journée. Puis il m’a fallu encore plus de partage, j’avais mis la main dans un engrenage qui nourrit : aller vers les autres et transmettre. J’ai donc enseigné dans une école d’art rattachée à un conservatoire de musique. Ainsi partagée entre création, expositions dictées par l’agent d’art, transmission et partage, je me suis régalée pendant 4 ans.

 

Les aléas de la vie m’ont fait migrer vers Béziers, avec un enfant en plus.

J’ai décidé de m’occuper pleinement de mes enfants après l’arrivée de ma fille. 

Puis,  là encore, la rencontre avec une galeriste atypique du coté de Narbonne m’a ré-ouvert à la transmission.

 

L’art n’est pas synonyme d’incompréhension mais juste de codes à déchiffrer et de partage d’émotions. Médiatrice culturelle, Plasticienne, intervenante en milieu scolaire, j’ai pendant 8 ans partagé, transmis ma sensibilité artistique auprès d’un public ciblé en zone d’éducation prioritaire majoritairement.

 

A nouveau, le fleuve pas si tranquille de la vie s’est chargé de faire prendre conscience que rien n’est figé, que la vie est un bien précieux dont il faut prendre soin et qu’il convient de conjuguer au présent. Nous sommes partis en voilier, en famille, voir ailleurs, construire notre lien familial, nous découvrir nous même : une expérience inoubliable !

De retour, ma production artistique a été des plus prolixe.

 

Les rencontres fabuleuses faites entre mer et terre m’ont amené à penser qu’il fallait aller à la rencontre de l’autre autrement. 

Devenue Auxiliaire de Puériculture, Instructrice en massage des bébés, j’ai découvert le milieu hospitalier. Au contact de la vie à son essence, en salle de naissance, j’y ai vu des liens parler en silence de ce qu’ils attachent, refusent de lier ou unissent pour toujours. 

 

...Histoires à suivre...




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